Les réalisateurs n’hésitent plus désormais à frapper leurs héros de paralysie, troubles bipolaires, Alzheimer ou démence. Une avancée saluée par les associations de personnes malades.
«On humanise les héros. Notre société exorcise la peur qu’elle a toujours eue du handicap. La capacité d’accepter la fragilité est un signe de maturité»
«Peu à peu, l’idée que la fragilité est inhérente à la condition humaine pénètre dans les mentalités alors qu’on estimait qu’elle était anormale, parce qu’elle faisait peur»