La vie de Gérald Vouilloz a basculé le 1er avril 2001, au guidon de sa moto. L’ingénieur en robotique est fauché par un automobiliste. Sa jambe gauche est arrachée à mi-cuisse, son bras gauche tient à peine à son corps. S’ensuivent treize mois d’hôpital, 128 fractures, deux mois de coma.
Depuis, l’habitant de Vauderens (FR) se battait pour obtenir une prothèse robotisée lui permettant de marcher de façon fluide et sécurisée. Son assurance-accidents, la Suva, ne finançait qu’un modèle de base, mécanique.
Lire notre article du 25 novembre 2014
Depuis Gérald Vouilloz a obtenu gain de cause et la Suva devra lui payer une prothèse plus efficace