Des chercheurs de l’EPFL ont développé des neuroprothèses de nouvelle génération capables d’apprendre de leurs erreurs. Ces travaux sont publiés dans Nature Scientific Reports.
Les Brain-Machines Interfaces (BMI ou interfaces cerveau-machine) constituent un grand espoir pour des milliers de patients affectés par les maux les plus divers: amputés ou encore paralysés. Avec ces équipements, ils peuvent contrôler un membre artificiel grâce à des électrodes connectées – directement ou de façon non invasive – au cerveau, a indiqué l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) dans un communiqué .