Les petits maux mots du webmaster…
Quant un grand malade subit une grave opération, le chirurgien attend en principe d’avoir des résultats concrets avant de songer à une nouvelle intervention.
Malheureusement, lorsque notre patient se nomme l’AI, on s’y prend autrement et avant même de connaître les éventuelles séquelles laissée par la « 5e révision de la LAI », on prépare le malade pour une douloureuse « 6a », si après ça il survit on passe immédiatement à l’anesthésie pour la « 6b »…